« Adoption de la Loi sur l’Identification Électronique Unique au Burkina Faso : Un pas vers un système de gestion fiable des identités »

Les députés de l’Assemblée Législative de Transition (ALT) ont approuvé, lors de la séance plénière du vendredi 11 octobre 2024, un projet de loi visant à instaurer une identification unique électronique des personnes physiques au Burkina Faso. La ministre de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques, Docteure Aminata ZERBO/SABANE, a répondu aux interrogations des parlementaires, accompagnée du Directeur de cabinet Abdoulaye OUEDRAOGO et du juriste du projet WURI, Totao Arsène YABRE.

Cette loi constitue une avancée majeure vers la mise en œuvre d’un projet d’identification obligatoire, initié en 2018. La ministre a expliqué : « Le gouvernement burkinabè est déterminé à doter notre pays d’un système d’identification électronique fiable et robuste, qui servira de fondement à l’ensemble des systèmes d’identification dans les secteurs public et privé. Cet identifiant unique, qui prendra la forme d’un numéro aléatoire, sera attribué à chaque Burkinabè dès sa naissance, ainsi qu’à tout étranger résidant au Burkina. »

Actuellement, un Burkinabè sur quatre ne possède pas de document d’identité. D’ici 2026, ce vaste projet, dirigé par WURI, vise à enrôler gratuitement 80 % de la population burkinabè, pour un coût total estimé à plus de 48 milliards de francs CFA. La ministre a souligné que ce système permettra au gouvernement de disposer de données précises sur la population, facilitant ainsi la planification de projets et programmes de développement pour le bénéfice des citoyens.

À terme, ce projet devrait engendrer d’importantes économies en évitant les frais liés aux enrôlements multiples, contribuer à la lutte contre l’insécurité, réduire les fraudes d’identité, simplifier l’accès aux documents essentiels et établir un cadre juridique et institutionnel solide pour l’identification des individus. Les avantages sont non seulement considérables pour le pays, mais également pour chaque citoyen.

La ministre de la Transition digitale a assuré que des mesures sont en cours pour garantir la sécurité des données, impliquant la gestion par des experts locaux.La ministre de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques, Docteure Aminata ZERBO/SABANE, a répondu aux interrogations des parlementaires, accompagnée du Directeur de cabinet Abdoulaye OUEDRAOGO et du juriste du projet WURI, Totao Arsène YABRE.

Cette loi constitue une avancée majeure vers la mise en œuvre d’un projet d’identification obligatoire, initié en 2018. La ministre a expliqué : « Le gouvernement burkinabè est déterminé à doter notre pays d’un système d’identification électronique fiable et robuste, qui servira de fondement à l’ensemble des systèmes d’identification dans les secteurs public et privé. Cet identifiant unique, qui prendra la forme d’un numéro aléatoire, sera attribué à chaque Burkinabè dès sa naissance, ainsi qu’à tout étranger résidant au Burkina. »

Actuellement, un Burkinabè sur quatre ne possède pas de document d’identité. D’ici 2026, ce vaste projet, dirigé par WURI, vise à enrôler gratuitement 80 % de la population burkinabè, pour un coût total estimé à plus de 48 milliards de francs CFA. La ministre a souligné que ce système permettra au gouvernement de disposer de données précises sur la population, facilitant ainsi la planification de projets et programmes de développement pour le bénéfice des citoyens.

À terme, ce projet devrait engendrer d’importantes économies en évitant les frais liés aux enrôlements multiples, contribuer à la lutte contre l’insécurité, réduire les fraudes d’identité, simplifier l’accès aux documents essentiels et établir un cadre juridique et institutionnel solide pour l’identification des individus. Les avantages sont non seulement considérables pour le pays, mais également pour chaque citoyen.

La ministre de la Transition digitale a assuré que des mesures sont en cours pour garantir la sécurité des données, impliquant la gestion par des experts locaux.

ZAGLA

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