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La maison»Intelligence Artificielle»Protéger son identité numérique : un impératif pour les créateurs de contenu
Intelligence Artificielle

Protéger son identité numérique : un impératif pour les créateurs de contenu

ArmandKPar ArmandK11 juillet 2025Aucun commentaire6 Minutes de Lecture
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Face à la montée en puissance de l’IA générative et la multiplication des faux, protéger et certifier son identité et ses contenus sur le web est devenu une nécessité pour les créateurs et créatrices.

5 milliards de personnes utilisent aujourd’hui les réseaux sociaux, avec en moyenne 8 comptes par utilisateur. Protéger son identité numérique devient un véritable enjeu, tout particulièrement pour les créateurs et créatrices de contenu. Mais celle-ci est particulièrement fragile. « Plus on est connecté, plus ça sème le doute », observe Catherine Verdun, cofondatrice de Certiphy.io, plateforme dédiée à la certification des contenus et des identités numériques.

Ce doute est alimenté par l’accessibilité croissante des outils d’IA, de plus en plus puissants, accessibles et simples d’usage. « Il n’y a plus besoin d’être un tech guy ou girl pour utiliser ces outils. Et le revers de la médaille de cette démocratisation, c’est la création de deepfakes, l’usurpation d’identité, le vol ou le détournement de contenus. » Les créateurs et les créatrices perdent ainsi la main sur leur image, leur voix, leurs productions. Et avec cela, leur crédibilité.

Les risques sont multiples, personnels autant que professionnels. « On parle de cyberharcèlement, de confusion, de réputation atteinte. On peut perdre des opportunités. » Dans ce contexte, affirme-t-elle, « protéger son image, c’est protéger sa carrière ». Reprendre le contrôle passe par « la vérification de son identité en ligne, la certification de ses contenus et une veille active sur l’usage de son image ». Une démarche devenue essentielle dans un monde où « la preuve d’authenticité devient un acte de légitimité ».

La fin de la confiance par défaut

La montée des contenus synthétiques sur le web bouleverse les repères visuels. « Avant, voir un visage ou une voix suffisait à croire. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. » Catherine Verdun parle d’un climat de « suspicion généralisée », qui traverse toutes les générations. « Autrement dit, plus nous sommes connectés, plus nous doutons. » Ainsi, « les créateurs et créatrices ressentent une pression croissante pour prouver leur authenticité, pendant que le public réclame des contenus vérifiables ».

Et si peu échappent à des détournements d’identité, certaines catégories sont plus touchées que d’autres : « Les femmes, par exemple, sont les plus ciblées par les deepfakes, avec des contenus qui réutilisent leur image à des fins souvent pornographiques… »

Construire un web plus transparent n’est pas une option.

Pour « restaurer la confiance dans des environnements numériques saturés d’images, de voix et de récits dont l’origine est de plus en plus difficile à tracer », Catherine Verdun milite pour « imposer aux contenus numériques (photos, vidéos, texte…) les mêmes exigences de sécurité et de fiabilité que pour nos actifs financiers ». Elle prend en exemple ce paradoxe simple : « Dans la banque, on a accepté la double authentification pour valider un simple paiement de quelques euros. Dans le numérique, nos contenus circulent sans preuve ni contrôle. »

La blockchain comme socle de preuve, reconnue en justice

Pour ce faire, des plateformes comme Certiphy.io se développent pour permettre une traçabilité accessible, opposable et vérifiable. Elle s’appuie notamment sur la technologie blockchain. « On utilise une blockchain publique. Elle joue le rôle de tiers de confiance numérique : c’est transparent, décentralisé, infalsifiable », explique Catherine Verdun. « Elles garantissent ainsi l’intégrité, l’antériorité et la traçabilité des contenus (photo, vidéo, texte…) en enregistrant une empreinte numérique horodatée dans un registre public, accessible à tous. »

C’est un geste qui dit : « Ce contenu, c’est moi qui l’ai créé. » C’est une manière de restaurer ou renforcer la confiance auprès de son audience.

Loin d’être un gadget, cette « brique technologique fondamentale » est désormais une preuve reconnue par la justice : « En mars 2025, le tribunal de Marseille a reconnu pour la première fois en France la valeur probante d’un contenu horodaté par blockchain dans une affaire de contrefaçon. » Une décision qui marque un tournant pour les créateurs et créatrices de contenu en ligne. « Au-delà de sa portée juridique, la blockchain incarne une valeur symbolique forte : elle devient un garant d’authenticité et un pilier essentiel pour restaurer la confiance dans la création et la diffusion de contenus en ligne. »

L’équilibre délicat entre certification et liberté

Mais cette quête de vérification ne peut se faire sans prudence. « Le développement de dispositifs de certification et de vérification d’identité, bien qu’essentiel pour lutter contre la désinformation, n’est pas sans effets secondaires », prévient la cofondatrice de Certiphy.io. « Il existe un risque réel de dérive vers un modèle de surcontrôle, où la quête de transparence et de sécurité peut conduire à des formes de surveillance généralisée ou d’exclusion numérique. » Des créatrices et créateurs anonymes, militants ou artistes, qui refusent de révéler leur identité, peuvent se retrouver en marge.

L’enjeu est de construire un modèle de transparence respectueux des diversités d’expression et des droits fondamentaux.

Ces « mécanismes de certification reposent souvent sur la collecte et le croisement de données personnelles (identité, localisation, empreintes numériques, etc.) », rappelle Catherine Verdun. Ainsi, « s’ils ne sont pas encadrés par des garanties strictes (RGPD notamment), ils peuvent alimenter des systèmes de surveillance invisibles avec des implications pour la vie privée, la liberté d’expression et la liberté de création ».

C’est « un nouvel équilibre à construire entre sécurité et liberté afin de garantir des niveaux de certification modulables selon les usages, des droits au pseudonymat ou à l’anonymat dans certains contextes, et des solutions open source ou publiques ».

La nécessité d’un cadre commun

Les initiatives de certification en ligne se multiplient. « À ce stade, les deux dynamiques coexistent : une tendance naturelle à la fragmentation, chaque plateforme développant ses propres normes et outils, mais aussi une volonté croissante de converger vers des standards communs, portée par des acteurs institutionnels et technologiques », explique Catherine Verdun.

Des efforts de normalisation sont en cours, à l’échelle européenne et internationale. « Parmi les initiatives, on peut citer le règlement européen eIDAS2, des coalitions comme C2PA pour établir un standard ouvert pour la traçabilité des contenus numériques ou encore la certification des contenus générés par IA. » Ces tentatives restent encore imparfaites.

Sans cadre public, la confiance numérique ne sera ni durable, ni partagée.

Dans ce cadre, les « institutions ont un rôle clé : fixer des règles communes, garantir les droits fondamentaux et agir comme tiers de confiance neutre. Les États et régulateurs doivent encadrer l’usage des technologies de certification (blockchain, IA, identité numérique…), éviter les dérives de surveillance ou d’exclusion, et garantir l’interopérabilité, la transparence et l’accès équitable à ces outils ». L’avenir passera, selon elle, par « un modèle hybride », combinant diversité d’approches et socles communs (blockchain, métadonnées standardisées ou API d’identification).

Source : BDM

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